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Une pièce sur la lumière de l'illumination
Contexte : années 1910, Turkestan. Une petite salle de classe, décorée dans un style traditionnel. Des paroles de sagesse écrites en écriture arabe sont accrochées aux murs. Au milieu se trouve une grande table de classe et autour se trouvent des bureaux en bois pour les étudiants.
Personnages :
1. L'enseignant est le personnage principal, pédagogue moderne.
2. Ismailbek est l'élève le plus actif et le plus curieux de l'enseignant.
3. Kamiljon est un autre élève du professeur, sceptique et prudent.
4. Zakir - un professeur d'école traditionnelle (madrasa), contre l'école moderne.
5. Père - Le père d'Ismailbek, contre l'éducation moderne de son fils.
6. Mère - La mère d'Ismailbek soutient son fils.
7. Étudiants (étudiants) — autres étudiants de la classe.
(Le rideau s'ouvre)
Enseignant : (Avec politesse et inspiration) Aujourd'hui, nous allons commencer un nouveau sujet : la carte du monde ! Le monde est grand, mes enfants, et des gens merveilleux y vivent partout.
Ismailbek : (levant la main) Professeur, pourquoi devrions-nous apprendre d'autres langues ?
Enseignant : (avec un sourire) Parce que la connaissance est un pont, Ismailbek. Connaissant d’autres langues, nous pouvons nous lier d’amitié avec d’autres peuples et apprendre de nouvelles choses d’eux.
Kamiljon : (ton dubitatif) Mais ces langues ne sont pas enseignées dans nos madrassas.
Enseignant : C'est pour cela que nous avons ouvert les écoles Jadid, Kamiljon. Nous voulons renouveler l'éducation, chaque enfant doit lire et écrire.
(Zokir entre en scène)
Zakir : (Avec mécontentement) Quelle est la nécessité de cette nouvelle ? Nos méthodes traditionnelles fonctionnent depuis des milliers d’années !
Enseignant : (Avec respect) Oui, frère Zakir, mais le monde change. Nous devons nous aussi changer si nous ne voulons pas être laissés pour compte.
(Père entre en scène)
Père : (en colère) J'ai entendu dire que vous enseignez à mon enfant des idées étranges !
Mère : (doucement) Bonnes idées, mari. Pour que notre fils soit un grand homme dans le futur…
Enseignant : (Calmement) Le rêve de tout parent est que son enfant ait un bel avenir. Nous voulons simplement les aider à ouvrir les yeux et à voir le monde.
(Le rideau se ferme)
Cette pièce capture l'essence du mouvement moderniste et évoque des thèmes tels que l'importance de l'éducation et la poursuite de la modernité à travers divers personnages. Il est recommandé d’étudier les données historiques pour une compréhension plus approfondie du rôle dans le processus de mise en scène. Vous pouvez augmenter la longueur de l'œuvre et le nombre de caractères selon vos besoins.
Une petite scène sur Jadids : Sparks of Enlightenment
Contexte : 1917, une réunion secrète dans une ville du Turkestan. Le soir, la cour d'une maison ancienne mais prospère. Les Jadids se réunissent dans la maison de Behbudi, le propriétaire de la maison.
Personnages :
1. Abdulla Qadiri - Jeune écrivain et journaliste.
2. Abdulla Avloni - Réformateur pédagogique et dramaturge.
3. Cholpon - Poète et critique littéraire.
4. Abdurauf Fitrat est un maître de philosophie et de littérature.
5. Mahmudhoja Behbudi est le leader du mouvement Jadidisme et éclaireur.
6. Munavvarqori Abdurashidkhanov - réformateur religieux et enseignant.
7. Agent des services secrets (renseignement) — Un agent secret surveillant la réunion.
(Le rideau s'ouvre)
Behbudi : (accueille les invités) Bienvenue, mes chers amis ! Aujourd’hui, notre objectif est extrêmement important : définir l’avenir de l’éducation et de l’éducation.
Qadiri : (Strictement) Nous devons laisser à la nouvelle génération non pas les vieilles ténèbres, mais une nouvelle illumination.
Avloni : (Montrant ses mains) Je pense qu'il est temps de changer fondamentalement le système éducatif. Nous devons enseigner à nos enfants non seulement des connaissances religieuses, mais aussi des compétences scientifiques et pratiques.
Cholpon : (poétiquement) Et cela mènera à une nouvelle éducation, à une nouvelle littérature. Nos poèmes et nos histoires devraient remonter le moral de notre peuple.
Fitrat : (Pensant) En effet, la littérature et l'art sont le miroir de la société. La modernité et notre identité doivent se refléter dans nos œuvres.
Munawwarqari : (En mettant l'accent sur la connaissance religieuse) Cependant, nous ne devons pas oublier que les réformes religieuses sont également importantes. La religion est dans notre cœur, mais elle doit aussi s’adapter à son temps.
(Un agent des services secrets regarde dans un coin invisible)
Behbudi : (Dans un esprit de modernisation) Notre mouvement n'est pas seulement une question d'éducation ou de littérature. Il s’agit d’une lutte pour une pensée indépendante, pour la liberté et la justice.
Qadiri : (Avec émotion) Nos paroles et nos papiers sont des armes. Nous les utilisons pour réveiller notre peuple.
Avloni : (Faire un plan) Maintenant, chacun de nous devrait commencer à travailler dans son domaine. Je travaille à l'introduction de nouveaux manuels scolaires dans les écoles.
Cholpon : (levant sa plume) Et j'actualise la littérature, crée de nouvelles œuvres.
Fitrat : (regardant le livre) Et je développerai la philosophie et la pensée scientifique.
Munawwarqari : (Tenant le Coran) Je moderniserai l'enseignement religieux.
(Un agent des services secrets sort pour les informer de leurs projets)
Behbudi : (regardant tout le monde) Nous sommes ensemble, mes chers amis ! Ensemble, nous éclairons les ténèbres et ouvrons la voie à un nouveau jour !
(Le rideau se ferme)
Cette scène représente une réunion importante des représentants des idées du mouvement jadidiste et de leurs objectifs. Les caractéristiques et émotions uniques de chaque personnage prennent vie sur scène. La pièce montre les aspects importants du mouvement Jadid et ses espoirs de réformes dans la société du Turkestan.
Une performance dans nos cœurs et nos esprits
Contexte : années 1930, sous le régime soviétique. Le soir, une cellule de prison. Au plus fort des répressions soviétiques, les Jadids furent réprimés. A l'intérieur de la cellule, plusieurs Jadids, dont Abdullah Qadiri, se parlent pour la dernière fois.
Personnages :
1. Abdulla Qadiri est un écrivain et éclaireur moderne.
2. Cholpon - Poète et critique littéraire.
3. Fitrat est un maître de philosophie et de littérature.
4. Le directeur de prison est un gardien de prison soviétique.
(Le rideau s'ouvre)
Qadiri : (Malheureusement) Notre seul défaut était de vouloir le meilleur avenir pour notre peuple.
Cholpon : (Les larmes aux yeux) Oui, nous avons parlé pour la justice et la liberté, et maintenant nous nous retrouvons dans ces cellules sombres.
Fitrat : (Calmement) Mais nos idées sont éternelles. Ils survivent après nous, à travers nos œuvres.
Qadiri : (levant la tête) Notre mort restera à jamais dans la mémoire de notre nation. La flamme de la rébellion dans leurs cœurs ne s’éteindra jamais.
(Le superviseur entre)
Gardien : (d'un ton bourru) Il est temps. Vous avez reçu l'ordre d'être expulsé.
Berger : (se levant, résolument) Nous serons injustement exécutés, mais nos âmes resteront libres.
Fitrat : (Regardant Qadiri) Frère Abdullah, vos « Jours passés » seront une source d'inspiration pour des générations.
Qadiri : (embrasse étroitement Cholpon et Fitrat) Nous ne nous oublierons jamais. Nous, les Jadids, vivrons toujours au cœur de notre peuple.
(Le gardien les fait sortir de force de la cellule)
Qadiri : (Avant de marcher) Mon peuple, pardonne-nous ! Nous nous sommes battus pour vous, maintenant vous réalisez nos rêves !
(Le rideau se ferme)
Cette pièce décrit comment les héros du mouvement Jadid ont été injustement exécutés lors de la répression soviétique. Cela montre qu’ils s’efforcent d’être une source d’espoir et d’inspiration même dans leurs derniers instants. La pièce met l'accent sur l'idéologie du mouvement des anciens combattants et la perpétuité de leur héritage, ainsi que sur le fait que leur mémoire et leurs sacrifices ne seront jamais oubliés.
Une scène intéressante sur les Jadids : Jeunes Jadids : héritage et perspectives
Contexte : Aujourd'hui, une université d'Ouzbékistan. Une bibliothèque spacieuse et lumineuse, des portraits de personnes âgées sont accrochés aux murs. Un groupe d'étudiants s'est réuni pour discuter de leur travail de projet.
Personnages :
1. Kamola étudie l'histoire, dans un esprit d'illumination.
2. Aziz est étudiant en littérature, il adore la poésie.
3. Jasur est un étudiant en économie intéressé par l'innovation et l'entrepreneuriat.
4. Nigora est étudiante en pédagogie, partisane des réformes dans le domaine de l'éducation.
5. Un enseignant est un professeur d’université qui inspire les étudiants.
(Le rideau s'ouvre)
Kamola : (Regardant les portraits des anciens) Comme ces gens étaient géniaux ! Leur mouvement des Lumières a jeté les bases de ce que nous pouvons faire aujourd’hui.
Aziz : (levant les yeux du livre) En effet. Les poèmes du berger m'émerveillent encore. Nous devrions chercher des moyens de nous exprimer et d’enrichir notre littérature à travers eux.
Jasur : (montrant des graphiques sur sa tablette) Nous devrions nous inspirer de ceux qui se sont battus pour l'indépendance économique et mettre en œuvre de nouvelles idées commerciales.
Nigora : (Organisant le matériel pédagogique) Et je veux réformer le domaine de l'éducation comme Fitrat. Chaque enfant mérite une éducation de qualité.
Enseignant : (s'approchant du groupe) Vous êtes la jeune génération qui perpétue l'héritage des anciens. L’avenir de l’Ouzbékistan est entre vos mains.
Kamola : (regardant Aziz) Un jour, nous pourrons nous souvenir dans les pages de l'histoire aux côtés de ces gens formidables.
Aziz : (souriant) Bien sûr, mais il faut continuer leur travail et laisser notre empreinte.
Courageux : (avec impatience) Oui ! Nous pouvons présenter notre pays au monde en créant des innovations dans les affaires et l’économie.
Nigora : (Avec enthousiasme) Et surtout, je veux éduquer les jeunes générations dans cet esprit par le biais de l'éducation.
Enseignant : (Avec éloge) Dans chacune de vos paroles, l'esprit du passé est clairement visible. Continuez simplement à avancer et ne vous arrêtez jamais !
(D'autres étudiants les rejoignent dans la bibliothèque, et des échanges d'idées commencent entre eux)
Le rideau se ferme
Cette scène reflète le respect de la jeune génération pour son héritage historique et sa volonté de contribuer au développement du pays. Les étudiants envient le passé en mettant en œuvre de nouvelles idées et en façonnant leur avenir. La pièce exprime les objectifs et les rêves des jeunes et les encourage à perpétuer l'héritage de leurs ancêtres.