Poèmes sur les plantes, les fleurs et les arbres

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MOUTON

Bonjour, cher frère,
Peut-être que je suis un neveu, tu es mon oncle.

La seule différence est que vous n'avez pas de langue,
Il n'y a aucun moyen de marcher, aucun moyen d'aller.

Mais tu es heureux, tu jettes une ombre,
Vous recevrez des bénédictions de ceux qui l'apprécient.

Oncle, ma situation est difficile,
Un corbeau qui s'est réfugié en moi.

Il y a une demande: si nous changeons de place,
J'aimerais pouvoir vivre comme un arbre.

Regarde ce monde comme un être humain,
Eh bien, un jour, ne me fabriquez pas de bois.
1981

Abdallah Oripov



Mon âme est au paradis et mon âme en enfer,
Menthe, mon cœur est dans la prairie où tu as grandi.
Tu es une sœur jaune au bord de la rivière,
Tu me manques dans l'océan.

Quand j'embrasse ton visage avec les larmes aux yeux,
J'aimerais pouvoir me noyer toute ma vie,
Si je donne mon cœur à Diling -
Je suis un vohang séparé de la vallée.

Je ne suis pas poète, je suis poète
Mon poème n'est pas digne de ma renommée.
Par la grâce de mille,
Je suis un vilain nahang.

Ce trône sans la couleur du ciel netgum,
Rayhon s'en fiche, je suis content
Je viendrai à toi avec ma tête,
Je suis une association caritative de Dalang dans le monde! ..

Ô mon cœur blanc, ô ma chemise bleue,
Je veux être égal à toi
J'ai chanté uniquement à cause de toi,
Je suis le ton qui tombe au sol de ta feuille.

(Muhammad Yusuf)

 



Le coton des arbres ne s'effrite pas

C'est ce qu'Allah dit à la terre,
Night: C'est ce que signifie bsldi s ?? rta yat.
Automne Ò ›sl s ?? iltagan momaÒ› aldiroÒ ›,
Shish n'a pas compris le mot.

Pour Ahim, le ciel est dégagé à l'automne.
BaÒ³ormi pleurera et ruinera le monde.
Mon scientifique dit oppoÒ ›s ?? oÒ› olli,
Ashlar ne respecte-t-il pas la vieille abeille ?!

Artan Ò³ali mays ?? a nish urs ?? aydi,
Le coton des arbres ne pousse pas.
A la fin de l'automne, l'air yoz ›itmir de l'été,
A ?? e szi nature shum muddaos ?? i?!

Parfois, il est difficile de dormir
C'est une gentille jeune femme.
Alors, au printemps,
L'amertume d'un homme bon.

MoÒ³ir

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