Oybek (1905-1968)-Poèmes

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OISEAU LIBRE
Un bel oiseau comme Malak
Il atterrit sur une branche de saule.
J'ai dit : "Oiseau, descends vers moi,
Mon jeune cœur était rempli de chagrin.
Chante un peu, dis un poème,
Laisse mon âme triste battre des ailes
Des chansons mystérieuses et belles
Que la bougie de mes actes soit allumée. »
"J'ai brûlé dans le commerce de la volonté,
J'en ai tellement marre des cages,
Dans le hijran des jardins d'enfants
J'avais le cœur brisé.
Laisse les moutons voler vers le ciel,
Je serai libre maintenant :
Le printemps est venu et a ri partout,
Fais un petit câlin à la variole ! —
Dit le petit oiseau.
Les ailes battaient dans le bleu clair,
1924
JEUNE VOYAGEUR
J'ai un long chemin à faire
Ma pratique est brillante :
Les rêves débordaient
C'est une douleur dans ma poitrine.
Rage, mer,
Ne te précipite pas, mer.
Un petit bateau
Ne jetez pas, mer !
Je ne peux pas en avoir assez de ma jeunesse
Mon souhait est de ne pas avoir peur.
Vague comme une montagne
Ne me bloque pas le chemin.
Un jeune coeur,
Au-dessus du bleu.
Ton étoile bien-aimée
Recherche et pouvoir.
1925, septembre
ALORS
I
Le soleil a disparu de l'horizon,
Une touffe de cheveux de feu
Les forêts sont bloquées...
Ce moment au loin
Il écrivait lentement
Brumes bleues et douces.
Un léger sourire tombe,
Bleu ciel, sans fin
Je regarde l'univers.
Les étoiles brûlent dans le bleu,
Toujours belle fille
Je mens comme... je veux...
1929, avril
II
je marche lentement
Les routes sont sablonneuses, comme de la soie...
L'aube et les vents.
À droite et à gauche de la longue route
Une rangée de grands sapins verts
Le soleil brûle aux extrémités.
Oiseaux et feuilles libres,
Ils chantent longtemps et brièvement.
Je ne peux pas le quitter des yeux.
Alors les chagrins et les chagrins prendront fin,
Mangu est la musique de la vie
Je ne peux pas arrêter d'écouter...
1929, mai, Yalta
* * *
Les horizons sont devenus secs.
Des nuages ​​colorés.
La pointe des grandes bûches
Aux cheveux du soleil
Ça joue lentement…
la distance pure,
Infini
Calme comme un enfant innocent,
Au sein de l'éternité
Allongé...
J'aspire tranquillement...
Tout de suite
À la philosophie de l'esprit
Je vénère.
Je ne peux pas rentrer dans ma poitrine -
Amour, joie...
1929
NUIT D'ÉTÉ
La lune brille
A la surface des feuilles...
Un profond silence ce soir...
C'est peut-être dans mon esprit.
Un grand univers sans fin,
Mangu jeune belle vie.
Les étoiles sont loin
Le cil doré joue,
Il lèche et regarde
Je suis comme une mère...
1930
SOIRÉE EN MER
Joue lentement dans les eaux,
Comme des bateaux dorés
Les éruptions solaires…
Couvre le feu du coucher du soleil,
Le visage du ciel est comme une grenade,
Les nuages ​​sont comme du satin…
Aux oreilles des horizons
La grande mer qui ne peut pas rentrer
Les mouettes sont calmes.
Eaux pour cheveux solaires
Traîner sans cesse
Remontez lentement le rivage...
1930, octobre.
SENS DE LA BEAUTÉ
Sur ma tête, la fleur blanche parfumée de la pomme,
Je reste éveillé, étreignant la grande terre.
Si mes oreilles ne suffisent pas, mon cœur suffit,
Le soleil est plus doux pour le cœur humain.
Gobelets de fleurs sur les arbres
Pour la santé de votre bébé, la vie...
Si vous le faites, si vous l'aimez, les collines, les jardins,
Pourquoi travailler aujourd’hui sans louer la terre ?
Travail uni-la technologie et la science,
Mon thème creuse l'or de la vie.
Chaque graisse de la ferme collective est un gulshan contigu
Le travail ici est comme une chanson.
Souvenirs des ancêtres
Cet endroit est enregistré par défaut.
Seule l'imagination du poète suffit
Des bleus sur la poitrine, de la sueur qui coule.
1934
* * *
Comme une gorgée de mai
je l'ai aimé
lèvres couleur cerise
Dondik, mon amour !
Comme une gorgée de mai
Je t'aime
Ce moment est pour toujours
Cela me semblait ma vie.
Le clair de lune est couvert
Beau printemps…
Oh, il a raté
Lèvres couleur cerise?…
1934, 21 décembre
* * *
Je marche, ma joie déborde.
Je ne sais pas d'où vient cette joie.
Le bruit de la nuit est doux, calme...
Les étoiles ont fleuri.
Les pierres et les oiseaux dorment
Quand les vents soufflent,
Le clair de lune tremble en vagues,
Une langue douce entre dans les feuilles.
L'amour de l'univers est comme une fleur
Ça s'ouvre dans mon cœur, qu'est-ce que c'est ?
La coupe de joie est pleine,
Les étoiles laissent tomber une lumière dorée...
1936, juillet, Chimyan
* * *
L'éternité et la vie
Cela coule comme de l’eau.
Dormir cheveux blancs
N'y touchez pas.
Quand ses vagues battent,
Les pierres de charbon entrent dans la langue,
Il est si charmant,
Si caressé et bouillonnant.
De la montagne viennent la joie et le bonheur
Cadeau Allakayga
Soleil d'Or
On y nage pendant la journée...
Les anneaux d'or coulent,
Chaque jour est dans la poitrine de Harir.
En chuchotant
Courez vers de nouveaux jours.
Sur les rives vertes
Je visite pendant la journée et le soir.
Une poignée de verres et de tasses,
Je bois seulement.
1936, juillet
* * *
Je gravis la colline, je descends le ruisseau,
Ou regarde les pierres, je me penche tranquillement,
OU comme un berger à une fontaine
Je m'assois et réfléchis un instant.
La jeunesse argentée de la fontaine bousculée,
Des saveurs à la fois amères et sucrées
Tournez-vous et courez à travers la verdure,
Des étincelles de perles interrompues.
La joie du jour est partout,
Un salut de fleurs partout :
Les nuages ​​vont s'installer au sommet pendant un moment.
Les ombres et les ombres bougent ensemble.
"Ce n'est pas beau de vivre dans le monde !" - un son
L’air résonne d’or ;
Dans un long voyage, le gramophone ne s'arrête pas,
Les rêves ne peuvent pas tenir dans la poitrine...
1936
* * *
Nuit sombre avec des taches de rousseur dorées,
Chaleur noire, souffle parfumé
Ça souffle lentement. Dors sur la colline, la colline,
Un ruisseau noir et turbulent coule dans le fossé.
Le sommeil caresse la couronne de fleurs,
Que vos rêves se réalisent.
Un "uhu" est venu des bois.
Le vent murmure : ne viens pas, ne t'arrête pas !
Velours noir de vos sentiments.
Les étoiles scintillent doucement,
La nuit est parfumée, chaleureuse : un cercle délicat,
Les étoiles brillent au sommet des montagnes...
1936
NAMATAK
Un buisson au balancement élégant
En haut, au gré du vent,
Un panier de fleurs blanches au soleil,
Au bord d'un rocher qui ressemble à Vigor-la.
Un buisson au balancement élégant
Un cœur qui ne se contente jamais d'une douce danse,
Il donne du charme aux pierres sauvages,
Un sourire éclatant sur son visage ne s'efface pas.
Pour tenir les joues et embrasser l'or,
Un panier de fleurs blanches attrape le soleil !
La neige argentée pleure à la base...
Un tas de shakes gracieux…
Le vent ne disperse pas les perles
Un panier d'étoiles blanches sur la tête - variole,
Comme les salutations subtiles sont innocentes !
Du turquoise de l'air de la montagne
La pousse entière est finement broyée.
Les étranges créations de roches sauvages :
Il y a un buisson qui danse en haut,
Heureux de tenir un panier de fleurs au soleil !
1936
* * *
Le vent, une flèche de conte de fées
De la montagne ouzganda uet.
Dès le début de la consommation d'alcool,
Le vent, une flèche zrtak !
Quittez la branche !
Robe en soie bleue,
Rugissement dans mes cheveux
viens murmurer à mon cœur
Quittez la branche !
Raconte le rêve des montagnes,
Dites bonjour aux étoiles
Murmure la vie,
Dites la prière d'amour.
1936, 9 juillet
POÈME
On dit qu’un poème est une étoile de mer.
Personne ne peut dire que Bolchik éclaire la voie.
Une perle est un fil de lumière dans les ténèbres de la vie.
On dit que la poésie n'est que le langage des oiseaux
Les âmes sensibles ont soif de sens,
Ou c'est la larme d'une âme aveugle,
Fleurs sur les pierres.
On dit que la poésie est sa propre logique
Le doux sommeil vient des rêves,
L'odeur de la terre qui donnait du sang et de la joie
Il n'a pas demandé l'inspiration avec fierté...
1936
* * *
Eh bien, bois de l'eau, mange du pain dur,
Mais laissez le feu brûler dans votre cœur.
Le fil amer de la philosophie,
Repose en paix, mec.
À la pierre, à la couleur, au mot
Brillez de la lumière de la vie.
Ce n'est pas une drogue, même toi tu es triste
Qu'il le mette dans son cœur.
1937
CULTIVÉ
Comme une brindille cassée,
Les feuilles colorées de l’espoir ont été abandonnées.
Il s'est pendu et ses mains étaient faibles,
La terre s'enfuit, les rayons du soleil s'assombrirent...
1941
* * *
Je ne peux pas pleurer monsieur...
Un œil en colère.
C'est comme une route
Un mot dur sur mes lèvres.
Sourcils, cils -
Je marche inconscient, surpris.
J'ai faim, je ne m'en souviens pas
Du pain comme une brique dans mon sac...
Chasses dans les maisons incendiées
Mon visage d'hiver.
J'erre seul. Pleurs
Mon pays est dans mon cœur.
1944 février 17
EN AUTOMNE
Je vais errer sur des routes solitaires,
Les arbres brûlent comme des torches.
L'automne semble brillant dans différentes couleurs.
Les feuilles de pêcher sont comme de l'or brûlant,
Bourgeons rouge rubis sur abricots.
La danse des branches est sur la feuille, sur la branche.
Les eaux coulent lentement, claires comme du verre,
Comme si les eaux se noyaient dans le ciel.
Je ne m'en lasse pas de Hazo, son souffle est chaud...
Oh, chers érables, comme je suis belle,
Je m'arrête et je pense : "C'est doré,
Sa durée de vie est de plusieurs siècles, ses racines sont solides..."
Les jours raccourcissent, l'étendard vole,
En disant au revoir, les oiseaux ont commencé leur voyage,
Les feuilles tombent,... le sol pleure...
Les pommettes sont rouge rubis,
Calèche, transport en ville,
Dans la nation des Ouzbeks – abondance, bénédictions, paix !
Raisins sucrés colorés sur les vignes,
C'est doux comme du miel qui éclate les langues :
C'est comme boire du vin parfumé.
Je marche dans mon esprit, il fait jour,
Les arbres se dressent comme des torches allumées.
Étoile du soir en route le soir...
1960
* * *
Parcourant des chemins mystérieux, j'erre dans le ciel,
Je pense, je pense, je ne sais pas
Une paille d'or parsemée dans le ciel.
La vérité est quelque chose, je pense toujours...
1965, août

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